Il résonnait une musique de fête dans la manoir familiale lorsque vous rentrez, ta femme et toi, de votre pseudo travail. Bien qu’il soit une couverture pour cacher vos crimes récurrents, vous y passez un certain nombre de temps, occupant vos longues journées maintenant rythmées par les pleurs des familles endeuillées et vos repas quotidiens. Une soif de sang jamais assouvie et pour laquelle vous prenez plaisir à vous régaler de l’humain-e qui passera devant vous. Parfois vous ne les tuez pas, parfois vous faites comme les autres vampires de la ville : vous vous nourrissez et vous hypnotisez mais il y a un besoin infaillible en vous de boire jusqu’à la dernière goutte de sang, de faire souffrir, de lire sur le visage des victimes la peur que vous leur procurez.

Vous avez chargé les enfants de s’occuper du repas de ce soir afin de déguster en famille leur petites trouvailles. Vous avez confiance aux goûts de vos progénitures et la faim commence à vous tirailler. “Victoire ? Léo ?” Tu appelles dans l’entrée de la maison. Puis vous parcourez les longs couloirs jusqu’à rejoindre la salle à manger, théâtre de presque tous vos crimes de groupe. “Ils ne doivent pas être encore rentrés.” Tu constates en te tournant vers ta femme. Tu t’approches un peu plus, posant tes deux mains sur son visage pour l’approcher de toi, un sourire joueur aux lèvres. “Que dirais-tu d’aller prendre une douche en les attendant ?” Tu proposes, clin d'œil à l’appui de ta désirable idée. Possible même que quelques poches de sang se joignent à la partie afin d’assouvir cette soif. Mais l’odeur du sang frais se fait sentir, annonçant l’arrivée d’un-e ou de vos enfants en compagnie de votre nourriture préférée. “Pour une autre fois.” Tu annonces, presque déçu, remettant cette idée à plus tard. Tu te diriges vers le buffet, servant deux verres de vin. “C’est pas trop tôt.” Tu t’agaces, sachant que même de l’autre côté de la maison, ta descendance t’entendra te plaindre tandis que tu trinques avec ta femme à cette soirée qui arrive.

Elle est contre sa voiture, un gros pick up 4x4 noir, Victoire, vampire à l'affut de ses proies. Lunettes de soleil sur le bout du nez, elle observe une demeure qui glace le sang et où Jésus est maître. Demeure qu'elle connait très bien de par son enfance tourmenté. Endroit qu'elle rebute le plus au monde. Une main dans une poche de sa veste en cuir, l'autre ballonnant le long de son corps recouvert d'un débardeur blanc et d'un jeans troué bleu, elle joue avec le bout de son pouce sur sa bague sertie d'une pierre de lapis, bijou de famille, bijou "solaire", se trouvant sur son annulaire droit. Elle lit la devanture de la bâtisse, un panneau en bois indiquant qu'elle se trouvait bien devant un couvent de formation pour jeunes nonnes et orphelines. Evidemment, toutes les nonnes ne sont pas forcément vierges ; elle est loin cette époque où c'était certain qu'elle le soient pour démarrer le postulat. Un petit groupe de deux d'entre elles sortent menée par une autre femme, qui n'avait vraiment pas l'allure d'une nonne. « Elle est ici. Merci infiniment de votre aide, mes soeurs. » L'humaine qui menait la danse s'approche de Victoire, qui, se décolle de son véhicule. La vampire s'avance d'un pas nonchalant vers le petit groupe de jeunes femmes. Un sourire aux lèvres, la vampire dépose délicatement une main douce sur une des joues rosies des possibles vierges. « Ravissante. Pourquoi devenir femme de Dieu avec une telle beauté au visage ? » La vampire soupire et secoue la tête. Elle ouvre les yeux et les plonge dans la jeune apprentie bonne soeur. Les yeux bleu persan de l'humaine se laisse envahir par l'hypnose de la vampire. « Tu vas me suivre, sans crier, sans rien dire et écouter tout ce que je te dirais de faire. » Totalement charmée, l'humaine aux yeux bleus opine simplement du chef sous le regard surprit et effrayé de l'autre jeune femme à la tenue de jeune nonne. La vampire ne met pas plus de temps à l'hypnotiser, la forçant à la regarder droit dans les yeux. Les deux femmes totalement zombifiées grimpent dans le véhicule à quatre portes. La vampire ouvre sa portière et se tourne vers l'humaine qui les a emmenées à elle. « Tu grimpes, allez. » Dit-elle, ou plutôt, lui ordonne-t-elle avant de claquer sa portière et de démarrer le véhicule. Résultats des courses ; trois humaines hypnotisées ; deux nonnes et une fille avec qui elle a passé la nuit, délicieusement mordue à l'intérieur d'une des cuisses.

Arrivées au manoir Valin à Mystic Falls, après des heures de route, le petit groupe sort du véhicule, suivant de très près Victoire. Elles entrent dans la demeure. Victoire entend l'agacement de son paternel vampirique, un des deux créateurs de sa nouvelle condition. Elle esquisse un sourire malicieux et avance vers la salle à manger avec les trois autres femmes. « Papa, maman ! Désolée du retard et du dérangement de ce que j'ai pu entendre. » Victoire entre, les mains en l'air, affirmant sa présence. Elle indique aux trois humaines de rentrer dans la pièces à leur tour avec son index et majeur. « Le dessert, l'apéritif, ce que vous voudrez. » Talons retournés, Victoire les présente fièrement. Elle les fixe du regard, les trois amuse-gueules. « Ne soyez pas timides, allez saluer mes parents, mes jolies. » Sourit-elle, leur indiquant d'un mouvement de tête les deux grands Valin derrière elle. Les jeunes femmes y vont sans broncher, hypnotisées, la bonne soeur dans sa robe blanche d'apprentie s'avance mais est bien vite arrêté par Victoire. « Sauf toi, je te garde pour moi. Au fait, il est pas encore arrivé Léo ? » Demande-t-elle à ses parents, tournant son corps vers eux. Elle serre son emprise sur le bras de l'humaine aux yeux bleus qu'elle garde près d'elle, bien que cela n'est pas nouveau qu'elle décide de garder une proie pour elle pour la nuit. C'est malsain de prendre une nonne pour cela, mais que voulez-vous, elle adore ça, Victoire.

Devant le miroir, je finissais d'appliquer mon rouge à lèvre calmement. Après une journée de travail, il était temps de m'amuser et pour ça, il ne pouvait être qu'autrement qu'avec une tenue adéquate et un rouge à lèvre vif. J'attachais mes cheveux, histoire d'être présentable. Du haut de mes talons aiguilles et de ma tenue impeccable, je n'avais qu'une hâte, tâchée ma peau et ma robe d'un peu de notre repas. A peine le temps d'hurler les prénoms de nos enfants que je me trouvais déjà à ses côtés. Son odeur, je ne m'en lasserai jamais, ni de lui, ni de quoi que ce soit qui le considérait. Même encore maintenant, je ne pouvais m'empêcher de l'aimer un peu plus à chaque fois que je le voyais. Alors qu'il déposait ses mains sur mon visage, il me vit une proposition à laquelle il était terriblement compliqué de dire non. « Ma tenue ne résistera pas à toi ! » Et moi non plus d'ailleurs. J'étais toujours affamée... De lui et de sang. Et parfois, l'un passait avant l'autre surtout lorsqu'une délicate odeur arrivait à mes narines.

Un fin sourire s'immisçait sur mon visage alors que je détendais ma nuque d'un mouvement de tête. « Quand les enfants seront au lit ! » annonçais-je pour lui répondre, tout aussi déçue que lui à vrai dire. Je savais que Vicky nous entendrait dans tout les cas et je n'allais sûrement pas lui cacher ça. Alors qu'il servait deux verres de vin, je gloussais, sachant que c'était plus de l'impatience que de l'agacement. Je m'approchais de lui pour passer une main sur son bras qui servait, histoire qu'il me tue pas encore sa fille. « Tu sais qu'il ne faut jamais être en retard au repas de famille ! » J'observais nos proies avec intérêt, j'inspectais les tenues. Elles semblaient terrorisées et qu'est ce que c'était satisfaisant et excitant à voir. « Tu as de la chance, tu nous ramènes de quoi nous amuser un peu ! » Je posais une main sur mes lèvres, je réflechissais déjà à ce que j'allais faire d'elles. Mes sens étaient en ébullition.

« Non, il est en retard et j'espère pour lui qu'il a une bonne excuse ! » Je me rapprochais d'une des nones, un bras dans ma main et avec un ongle bien taillé, j'ouvrais juste assez pour voir quelques gouttes de sang perler. « Oh ne pleure pas ! Même si tu pries, sweety, personne ne viendra te sauver ici ! Il n'y a pas de dieu qui puisse te sauver dans les enfers ! » Je lechais mon doigt qui avait touché sa peau sanguinolente. Oh mon dieu... Même après autant d'années à boire du sang, je peinais à me retenir, à attendre Léopold... Son goût me rendait à moitié folle. J'avais envie de lui faire si mal... Tellement mal. Je lui murmurais alors. « Ne t'inquiète pas, tu auras le temps de souffrir avant de mourir ! Tu vas mourir en martyre... Ce n'est pas ce que ton dieu veut ? Je vais te faire... »

Je prenais une inspiration en  dégageant son coup. « tant de choses que tu te rappelles même plus de son nom... Tu n'auras que le mien aux lèvres ! Même plus que mon mari... » J'esquissais un sourire en lâchant, je me saisissais de mon verre de vin en observant les autres. « Victoire... Tu n'as offert un véritable festival ! Pas de transformation, ne l'oublie pas ! Et fais-le de l'autre côté du manoir pour ta sainte cette nuit ! On ne voudrait pas abîmer ses oreilles chastes ! N'est-ce pas, mon amour ? » Je levais mon verre lui, amusée. J'avalais une gorgée, un petit sourire malicieux aux lèvres, en le fixant.

Tu avais travaillé une bonne partie de la journée dans le cimetière. C’était ton boulot d’apparence, mais quand il s’agissait de creuser des tombes ou tout autre travail physique, c’était toi qui était en charge de le réaliser. Comme si tu étais le musclor de la famille, ta carrure bien dessiné ne pouvait qu’acquiescer. Après avoir terminé ce boulot, tu avais décidé, ou plus tu avais besoin de te divertir, t’amuser, te laisser aller. Tu avais parfois ces pulsions, celles qui te donnait envie de chair, du plaisir de la chair, de jouir de tout cette exquise aventure entre deux corps masculins. Mais il y avait également les pulsions sanguines, cette envie de mordre, de sucer le sang, d’aspirer, de vider et de laisser ces corps sans vie.
C’est pourquoi après ça, tu décidais de te rendre dans un endroit que tu connaissais, un recoin où plusieurs hommes venaient pour draguer et profiter de ce désir sexuel que tous venaient assouvir. Certains te connaissaient déjà, tu avais déjà eu des expériences avec certains d’entre eux. Oui ça t’arrivait de ne pas les tuer, quand tu trouvais leur corps véritablement magnifique et que le sexe fut incroyablement bon.

Cette fois-ci, tu en pris un à part, le tirant par le cheveux dans un recoin, commençant par lui dévorer la bouche. Aucun de vous ne pouvaient résister et vous fîtes l’amour, ou plutôt tu lui défonças la rondelle.
Une fois votre affaire terminée, celui-ci en voulait encore, il était véritablement très insistant, trop à ton goût. « Toi quand je dis que c’est fini, tu m’écoutes et tu m’obéis. » C’est alors que tu l’hypnotisas, il t’écoutait, t’obéissait réellement désormais. « Suis-moi maintenant. Tu veux continuer, très bien on va continuer. Tu n’es pas prêt pour ce qu’il va t’arriver mon pauvre. » Tu allais l’emmener dans votre Manoir, cet antre de la terreur. Il allait être ton dîner.

Une fois arrivé au Manoir, lorsque tu entras en faisant passer le beau morceau avant, tout le monde était déjà là, commençant presque à jouer avec la nourriture qui était là, des nonnes. « Eh bien, je ne sais pas qui les a ramenées mais j’ai mon propre dîner ce soir, et je compte bien me le garder pour moi. » Il était un peu tard il fallait avouer, mais tu avais pris beaucoup de temps pour prendre du plaisir avec ta nourriture de ce soir.
« Je n’avais pas vu l’heure je dois avouer... Mais bon, le principal c’est qu’on puisse commencer maintenant n’est-ce pas ? » It’s time to eat.

Finalement, Victoire arrive la première et interrompt donc tes projets avec ta femme. Mais elle est vite pardonnée par la présence de toutes ces femmes de foi qui entre dans la pièce, les visages pétrifiés par la peur. Tout ce que vous aimez, Victoire avait du goût en matière de repas et tu étais fière de la voir si douée en tant que vampire. Pourtant, tu ne disais pas souvent, et sûrement pas ce soir. La faim hurle dans ton corps et le parfum intense de leur sang enivre tes narines. Azaline ne perd pas beaucoup de temps pour aller s’amuser de ses pauvres humaines. Elles sont tout ce que vous détestez. Un temps, ta femme était traitée de démon et poursuivie par toutes ces personnes qui agissent au nom de la religion. Ce soir est donc une occasion rêvée pour assouvir une nouvelle fois votre haine contre eux.

Tandis qu’Azaline prend un avant-goût dans les bras d’une nonne, tu fais de même, respirant l’odeur de son sang qui éblouit tout ton être. “Tu ne pleures pas.” Tu constates en t’adressant à la jeune femme. Elle reste de marbre, mais tu entends au rythme de son cœur à quel point elle a peur. Mais sa résistance te plaît. Tu te places devant elle, observe son regard, tentes de la faire craquer rien qu’avec tes yeux. Mais elle ne veut pas montrer sa terreur. “Tu penses que tu as plus de chance pour le paradis si tu fais la forte ? Tu crois que tu ne brûleras pas en enfer ? Penses-tu qu’il n’a jamais vu de là-haut le nombre de fois où tu as eu envie de ce jeune homme qui vient tout les dimanches à la messe ?” Ses yeux se baissent enfin, tu as sûrement touché quelque chose de vrai. S’il y a bien quelque chose que tu as appris après toutes ces années, c’est qu’aucune de ses idiotes asservies à dieu n’a commis aucun pécher. Et c’est souvent la même chose. Tu savais exactement comment la toucher en plein cœur. Tu penches ton visage pour observer ses joues qui commencent à s’humidifier. “Bonne fille.” Tu dis en tapotant tes doigts sur sa peau.

Quand tu te tournes, ta femme te tend un verre de vin. Pile au bon moment, comme à son habitude. “Chaste, je ne suis pas sûr. Mais oui, je veux être le seul à t’entendre.” Tu dis, très simplement en buvant un petite gorgée de ton verre, essayant de faire passer la faim qui grogne en toi. “Que fait Léo ? Il a intérêt à avoir une bonne excuse.” Tu prononces avant d’entendre du bruit dans la cours de la maison, signe que ton arrivée n’allait pas tarder. Il a de la chance, tu étais à prêt à manger sans lui. Il entre, accompagné d’un jeune homme. Son propre dîner celon ses dires. “Il ne t’est pas venu à l’idée d’en ramener pour tout le monde ? Quoi que je n’ai pas vraiment envie de m’abreuver de tes conquêtes.” Tu connais ton fils, tu sais ce qu’il s’est passé entre eux.

“Allez, à table.” Tu invites toute la famille à s’installer autour de grande table de la salle. Chacun a déjà son repas de prévu, en plus de la nourriture normale qui se trouve entre les assiettes. “Je suis très heureux de partager ce repas avec vous. Victoire, merci pour ces croyantes idiotes mais si délicieuses. Alors, régalez-vous.” Tu annonces avant de te tourner vers la nonne que tu as fait pleurer quelques minutes plus tôt, pliant tes doigts pour lui demander de venir à toi. Tu entends sa peur, tu veux déjà lécher les larmes qui roulent sur ses joues puis planter tes crocs dans sa chair.

Les jeunes filles religieuses que Victoire avait ramené à la famille ont fait franc succès. Victoire sourit à la vue de ses parents contents du cadeau offert. Victoire c'est le genre de fille à toujours vouloir être dans les bonnes grâces des parents, la fille modèle, la fifille à son papa. Il faut se le dire, Léonard et elle ont plus de points en communs que ce qu'on peut penser. Elle sera toujours d'accord avec lui. Bien qu'elle écoute sa mère, Azaline, Victoire préfère suivre les idées du paternel. Sous le bain sanglant qu'ils s'adonnent doucement à goûter, Victoire vient desserrer son emprise du bras de sa conquête de la soirée ; la jolie nonne aux yeux bleus et aux cheveux d'angelin. Une véritable créature de Dieu ! Victoire observe le regard de sa protégée de la soirée ; horrifiée. Victoire se met face à elle lui cachant la vue sur les crimes commis. Prunelles dans prunelles, la vampire lui ordonne de ne pas avoir peur et de trouver cela normal. Ainsi, son regard se met soudainement à changer et Victoire esquisse un sourire avant de déposer à la commissures de ses lèvres un léger baiser protecteur. La jeune Valin aime bien avoir ce rôle avec sa nourriture préférée. Victoire lève les yeux au ciel, faussement dégoutée par la phrase de sa mère sur les actions entre les deux parents à venir cette nuit. Elle tourne les talons vers eux. « Ses oreilles ne seront plus chastes cette nuit avec moi. » Victoire esquisse un sourire coquin et vient se placer à la vitesse vampirique derrière sa proie. Elle dégage le voile des nonnes de ses beaux cheveux, défait son chignons et laisse les cheveux blonds tomber en cascades sur ses épaules après y avoir déposer un baiser chaste. Léopold arrive enfin avec son propre déjeuner sur pattes. Victoire se retourne pour le regarder. « Elles viennent de moi ; je me doutais que tu ne serais pas de la partie. » Elle observe d'un regard noir le jouet de son frère. Toujours ce même regard qu'elle pose dessus. Le père de famille annonce le lancement du festin. Victoire vient s'asseoir à table, auprès de son frère et place sa proie à son autre côté. Elle vient poser sa main sur la cuisse de la nonne aux yeux bleus, serrant son éteinte pour remonter sa robe noire et caressser la peau nue de la vierge. « Avec plaisir, cher papa, chère maman. » dit-elle, souriante, levant un verre de vin rouge en sa direction et celle de sa mère. Victoire regarde du coin de l'oeil le jouet de son frère, tenté d'annoncer qu'il ferait un parfait cochon grillé avec une pomme dans sa gueule. Elle vient boire un peu du nectar de raisins alcoolisé et en garde en bouche. Après avoir reposé son verre, elle vient tourner le visage de sa proie pour lui en glisser le breuvage. Bouche contre bouche, un baiser faussement ensanglanté.