De quoi se détendre !

  @Helena Collins   & Sebastian

Bossant sur un de tes cours de droit, tu commences à en avoir marre de lire des pages du code pénal. Autant tu sais que tu dois y passer, autant là ça commence à être fatiguant. Regardant l’heure sur ton téléphone, tu y vois deux choses. La première, c’est que cela fait plus de trois heures que tu as la tête plongée dans tes cours. La seconde, un message d’Helena. Lui répondant rapidement que c’est bon pour toi, tu ne peux t’empêcher de croire qu’une pause te fera le plus grand bien. Attrapant ta veste, tu laisses tout en plan sur ta table, avant de prendre le chemin du Mystic Grill. Tu vas être en retard, mais tu étais tellement concentré que tu n’as pas vu le message de suite. Poussant la porte du bar, tu cherches rapidement la silhouette de ton amie. Posant son regard sur cette dernière, tu t’avances à sa rencontre, un sourire aux lèvres. Tu ne peux t’empêcher d’avoir envie de rire face aux grands gestes qu’elle fait pour que tu la vois. « Salut Hel’ ! » Prenant place face à la demoiselle, tu ne peux t’empêcher de lever les yeux au ciel. Mais tu sais parfaitement que c’est pour te charrier. Décidant de jouer sur les mots, tu ne peux t’empêcher de la taquiner également. « C’est bien ce que je me disais. Tu as donc investi dans un fond de teint ! » Comme à sa grande habitude, Helena se lance rapidement dans les questions. Enlevant ta veste, tu croises les mains sur la table, tu souris délicatement. « Fatigante cette semaine. J’ai l’impression d’avoir le code pénal comme lecture du matin au soir, et du soir au matin. Mais sinon oui, ça a été. Autant niveau études que boulot. » Réfléchissant rapidement à la question qui suit, tu décides de ne pas trop sortir de tes habitudes. « Un diabolo fraise avec un burger, frites. On ne va pas changer les bonnes habitudes. Et toi, tu vas faire pareil ou tu vas varier pour une fois ? » La détaillant discrètement, tu ne peux t’empêcher de la trouver fatiguée. Est-ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas ? Fronçant les sourcils, tu ne peux t’empêcher de poser la question. « Et toi, comment ça va ? Tu as l’air fatiguée. Trop de travail peut-être ? » Dans le fond, ça t’inquiète. Parce que tu apprécies grandement la demoiselle, et que tu veux être sûr que tout va bien pour elle. « Et je te préviens, la prochaine fois, c’est moi qui invite. »